Nelson Schaer (dr, perc), Robin Girod (g), Ganesh Geymeier (ts), Fabien Iannone (b)

La météo en montagne peut être facétieuse. Sauf que là, c’est sur scène que L’Orage est convié !
Son leader, Nelson Schaer, nous propose une version en quartet reprenant les compositions personnelles du groupe. Chaque thème apporte son lot de surprises, on navigue volontiers du lyrisme à la fougue non sans oublier de belles plages où tendresse et sensibilité sont à l’honneur.

L’Orage est le fruit d’un travail collectif dirigé par le batteur Nelson Schaer brillamment entouré par Ganesh Geymeier au sax ténor, Robin Girod à la guitare et Fabien Iannone à la contrebasse.

Nik Bärtsch (p), Sha (reeds), Nicolas Stocker (dr)

Moments suspendus, invitation à la méditation et au mouvement, la musique de Nik Bärtsch est unique.

Adepte des philosophies asiatiques, le pianiste a développé une approche musicale toute particulière. En juxtaposant subtilement rythmes et polyphonies, le trio nous emporte dans un univers envoûtant.

Nik retrouve ici la formation de ses débuts, piano, saxophone/clarinette basse et batterie. Une démarche contemplative en parfaite adéquation avec les montagnes environnantes.

Jam session animée par le
Gabriel Zufferey Trio.
Ouvert à toutes les musiciennes et musiciens !

Nelson Schaer (dr, perc), Robin Girod (g),
John Menoud (s), Réka Csiszér (voc, synt)*, Daniel Zea (perc)
*Réka Csiszér est remplacée par Antoine Läng.

La musique festive de Space Age Sunset est le résultat d’un mélange de rock et de jazz psychédéliques. Le collectif de musiciens s’inspire de styles et de sons des années 50, en nous distillant une musique incitant à l’évasion. Il y a dans ces ambiances comme un air de nostalgie.

La reprise de certains « tubes » de l’époque n’y est pas pour rien. On navigue du Mexique à l’Italie en passant par les Etats-Unis.

Des transitions allègrement maîtrisées par une palette de musiciens remarquables, dotés d’une énergie communicative.

Töbi Tobler (hackbrett),
Patrick Sommer (b, gimbri)

Le hackbrett, également connu sous le nom de cymbalum ou dulcimer est présent dans bien des folklores tout autour de la planète. Jazz sous les Etoiles a toujours à cœur de laisser une place aux instruments traditionnels, exploités sous diverses facettes. Töbi Tobler nous en fait la démonstration en jonglant allègrement du jazz au folklore en passant par le blues. Il est magnifiquement accompagné par le contrebassiste Patrick Sommer, ces musiciens nous proposent leurs propres compositions pleines de délicatesse, non sans laisser une belle place à l’improvisation.

Pierre Favre (dr, perc), Valeria Zangger (dr, perc),
Chris Jaeger (dr, perc), Markus Lauterburg (dr, perc)

Les percussions sont à l’honneur avec le Pierre Favre Drumsights. 
Icône d’envergure internationale, Pierre Favre s’entoure aux batteries et percussions de Valeria Zangger, Chris Jaeger et Markus Lauterburg. 
Les structures rythmiques se croisent et se chevauchent pour tisser une toile sonore à la fois poétique et enivrante. Nous nous laisserons volontiers transporter dans cet univers musical à l’initiative de l’infatigable Pierre Favre, actif sur la scène depuis plus d’un demi-siècle.

Sara Oswald (cello, vocal, p, synth)

Sara Oswald à l’Hôtel Weisshorn, tout un symbole ! Sara vit à la montagne et c’est là qu’elle y trouve une grande partie de son inspiration.
Sa musique est à l’image de ce qu’est la montagne, imprévisible, alternant volontiers entre tendresse et rudesse, entre douceur et violence.
La violoncelliste nous présentera son nouvel album « Bivouac », une invitation à se ressourcer après avoir affronté les humeurs de la montagne. Sara explore toutes les possibilités offertes par l’instrument en faisant aussi appel à l’électronique.
Un concert intime dans un lieu loin de toute agitation. 

Grégoire Maret (hca), Harold López-Nussa (p)

C’est un grand privilège que d’accueillir deux musiciens d’exception pour le concert de clôture.
Après avoir étudié l’harmonica à Genève, Grégoire Maret part très vite à New York pour y poursuivre ses études.
Son talent lui donne l’occasion de se frotter aux pointures américaines et l’amènera à jouer avec tout ce que la planète jazz compte de jazzmen célèbres, de Pat Metheny à Herbie Hancock en passant par Cassandra Wilson pour ne citer qu’eux, excusez du peu !
Quant à Harold López-Nussa, il est issu d’une famille de musiciens cubains célèbres.
Pianiste tout-terrain, il remporte en 2005, à l’âge de vingt-deux ans le Montreux Jazz Piano Award.
C’est le début d’une carrière brillante qui le conduira à produire plusieurs CD de latin-jazz.
Le concert de clôture de l’édition 2023 promet d’être riche en émotions.